Le marché du travail canadien vient de lâcher une bombe qui a pris tout le monde de court. En novembre, 53 600 emplois ont été créés—écrasant littéralement le consensus qui anticipait une perte de 2 500 postes. Encore plus frappant ? Le taux de chômage n’est pas simplement resté stable ; il a en fait baissé à 6,5 %, bien en dessous des 7,0 % attendus.
Un tel résultat est significatif pour plusieurs raisons. Des chiffres d’emploi solides témoignent généralement de la résilience économique, ce qui pourrait influencer la position de la Banque du Canada en matière de politique monétaire. Quand la création d’emplois est aussi soutenue et que le chômage recule, la nécessité de baisser les taux de manière agressive—une hypothèse déjà intégrée par les actifs risqués—diminue.
Pour ceux qui suivent les conditions macroéconomiques, cette donnée est importante. La vigueur de l’emploi se traduit souvent par un pouvoir d’achat des ménages qui se maintient, ce qui alimente la dynamique économique. L’écart entre les attentes et la réalité ici est suffisamment large pour modifier le récit sur la santé économique du Canada.
Les acteurs de marché surveillant la liquidité et les décisions des banques centrales devraient garder cela à l’esprit. Historiquement, des données sur l’emploi plus fortes que prévu ont eu un impact sur tout, de la volatilité des devises à l’appétit pour le risque sur l’ensemble des classes d’actifs.
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BearMarketSage
· 12-05 13:54
Cette dernière série de données sur l'emploi au Canada est vraiment impressionnante, elle a complètement dépassé les attentes... Les membres de la Banque du Canada doivent être en train de se creuser la tête, les anticipations de baisse des taux devront probablement être réévaluées.
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StakeWhisperer
· 12-05 13:35
Le retournement des données sur l'emploi au Canada est vraiment incroyable, les attentes du marché se sont complètement effondrées... On s'attendait à voir le taux de chômage grimper, mais c'est tout l'inverse qui s'est produit. La Banque du Canada va probablement devoir refaire ses calculs.
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SeasonedInvestor
· 12-05 13:34
Cette série de données sur l'emploi au Canada a directement contredit les attentes du marché : 53 600 emplois sont apparus comme par magie... Le taux de chômage est même tombé de 7,0 % à 6,5 %, cette performance est vraiment impressionnante. La fenêtre pour une baisse des taux par la banque centrale pourrait encore être repoussée, et les actifs à risque vont devoir être repricés.
Le marché du travail canadien vient de lâcher une bombe qui a pris tout le monde de court. En novembre, 53 600 emplois ont été créés—écrasant littéralement le consensus qui anticipait une perte de 2 500 postes. Encore plus frappant ? Le taux de chômage n’est pas simplement resté stable ; il a en fait baissé à 6,5 %, bien en dessous des 7,0 % attendus.
Un tel résultat est significatif pour plusieurs raisons. Des chiffres d’emploi solides témoignent généralement de la résilience économique, ce qui pourrait influencer la position de la Banque du Canada en matière de politique monétaire. Quand la création d’emplois est aussi soutenue et que le chômage recule, la nécessité de baisser les taux de manière agressive—une hypothèse déjà intégrée par les actifs risqués—diminue.
Pour ceux qui suivent les conditions macroéconomiques, cette donnée est importante. La vigueur de l’emploi se traduit souvent par un pouvoir d’achat des ménages qui se maintient, ce qui alimente la dynamique économique. L’écart entre les attentes et la réalité ici est suffisamment large pour modifier le récit sur la santé économique du Canada.
Les acteurs de marché surveillant la liquidité et les décisions des banques centrales devraient garder cela à l’esprit. Historiquement, des données sur l’emploi plus fortes que prévu ont eu un impact sur tout, de la volatilité des devises à l’appétit pour le risque sur l’ensemble des classes d’actifs.