Lorsque la prochaine crise de stablecoin surviendra, le USDD pourra-t-il y faire face ? Je ne peux pas garantir à 100 %, mais il dispose effectivement de plusieurs lignes de défense.

Tout d'abord, la marge de sécurité qu'offre la sur-collatéralisation. Les utilisateurs doivent maintenir un ratio de collatéral supérieur au seuil minimum, avec un support pour divers actifs de garantie tels que TRX, USDT, etc., ce qui permet de mieux disperser le risque. Le système surveille en temps réel tout au long du processus, et les données de collatéral transparentes et publiques sur la blockchain peuvent dissiper les doutes des utilisateurs — cela peut efficacement limiter la panique et les retraits massifs en cas de crash.

Ensuite, le mécanisme de liquidation automatique. Les règles codées en dur s'exécutent dès qu'elles sont déclenchées : si la valeur du collatéral diminue et que le ratio chute, la liquidation démarre immédiatement. Il n’y a pas d’intervention humaine, ce qui élimine tout délai ou injustice. Cela permet de gérer rapidement certains risques spécifiques et d’empêcher leur propagation à l’ensemble de l’écosystème.

Enfin, la fonction de stabilisation du module PSM. USDD et USDT peuvent être échangés en 1:1 sans slippage, offrant aux utilisateurs une ancre psychologique — en cas de panique, ils ont toujours la possibilité de revenir au nominal. De plus, avec une conception de liquidité déployée sur plusieurs chaînes comme TRX, ETH, BSC, le risque n’est pas concentré sur une seule blockchain.

Ces mécanismes combinés constituent effectivement plusieurs barrières de défense. Mais en ce qui concerne un effondrement systémique, un événement comme un cygne noir, personne ne peut garantir la sécurité.