Imaginez un scénario extrême : à un moment donné en 2025, un groupe de hackers libère un virus, dont l’objectif n’est pas la rançon, mais la destruction pure et simple. Ce virus s’infiltre dans les systèmes centraux des principales banques mondiales, effaçant arbitrairement les soldes des comptes, et supprimant également les données de sauvegarde. Des millions de personnes perdent du jour au lendemain toutes leurs économies, l’ordre financier s’effondre.

Cela semble terrifiant, mais à l’inverse — une telle catastrophe ne représenterait aucune menace pour l’USDD. Pourquoi ?

**La redondance distribuée est une défense naturelle**

Les registres bancaires sont concentrés dans quelques centres de données. Si le virus parvient à compromettre ces points, les données sont complètement perdues. Mais le registre de l’USDD est dispersé sur des milliers de nœuds à travers le réseau Tron mondial. Pour effacer l’USDD, un hacker devrait infiltrer et falsifier simultanément plus de 51% des nœuds dans le monde. Cela est pratiquement impossible en termes physiques et de puissance de calcul. En d’autres termes — tant qu’il reste au moins un nœud actif sur Terre, votre solde USDD est en sécurité.

**La cryptographie est le véritable rempart**

Les virus traditionnels exploitent les vulnérabilités des permissions de bases de données. Mais le contrôle des actifs USDD repose sur des clés privées. Sans votre clé privée, même un hacker puissant ne peut pas modifier votre solde. C’est une protection absolue au niveau mathématique, pas simplement une sécurité technique.

C’est pourquoi la stabilité sur la chaîne ne se limite pas à la facilité d’échange — c’est aussi la résilience financière.