Une donnée majeure a fait exploser le marché. L’ETF Bitcoin spot de BlackRock (IBIT) a enregistré hier une sortie nette de 3,326 milliards de dollars, battant le record depuis la création de ce fonds. Dès l’annonce, beaucoup ont commencé à s’inquiéter — la vente massive des géants signifie-t-elle une chute à venir ?
Mais il y a un détail souvent ignoré. Ce que l’on appelle la "vente de BlackRock" est en réalité principalement une vente mécanique déclenchée par les rachats des investisseurs ETF, et non une stratégie de vente à découvert de BlackRock lui-même. La fin d’année voit souvent les institutions réaliser leurs profits et ajuster leur structure de bilan, ce qui est une opération tout à fait courante.
De l’autre côté, l’histoire est tout autre. Depuis son lancement, l’ETF spot a attiré plus de 1320 milliards de dollars de fonds, et les sociétés cotées américaines ont effectué en octobre leur plus grande augmentation de positions en Bitcoin depuis juillet. Les gros capitaux se déploient discrètement, tandis que la panique s’étend.
Ce qui est vraiment intéressant, c’est cette "malédiction de quatre ans" de Bitcoin.
En regardant l’histoire, on constate que Bitcoin n’a jamais connu deux années consécutives de baisse annuelle. En 2014, il a chuté, mais en 2015, il a augmenté de 40,9 %. En 2018, il a chuté, mais en 2019, il a augmenté de 79,4 %. En 2022, il a chuté, et en 2023, il a explosé de 159,8 %. Jusqu’à Noël cette année, Bitcoin a baissé d’environ 7 % sur l’année. Si cette règle se maintient, la reprise en 2026 pourrait atteindre en moyenne 126,4 %. Le fonds d’investissement de Wall Street, Fundstrat, a déjà fixé un objectif de 200 000 dollars pour début 2026.
Pourquoi cette chaîne logique mérite-t-elle d’être suivie ? Parce qu’un autre grand facteur est en train de se préparer — la transition du pouvoir à la Réserve fédérale.
En 2026, la Fed accueillera un nouveau président. Ce nouveau leader sera probablement nommé directement par le président américain en place, qui pousse fortement pour une politique de baisse des taux. Cette anticipation se répand dans le marché. Si la politique devient accommodante, toutes les liquidités des actifs risqués pourraient être libérées. La sortie à court terme des investisseurs ETF, la cyclicité historique de Bitcoin, et le changement de politique monétaire de la Fed, ces trois forces combinées pourraient provoquer une véritable tempête parfaite.
D’un autre angle, la panique du marché est peut-être le meilleur signal d’anticipation. Avant chaque grande hausse, la liquidation des petits investisseurs et la stratégie des grands se jouent souvent en même temps. La sortie nette de 3,3 milliards de dollars de BlackRock peut sembler alarmante, mais elle est essentiellement une opération tactique de fin d’année, et non une stratégie de vente à découvert à long terme.
Alors, la question est : cette désespérance actuelle sera-t-elle la dernière obscurité avant l’aube ? Ou n’est-ce qu’une nouvelle tentative de manipulation dans une séquence de baisses ? Cycles historiques, stratégies institutionnelles, anticipations politiques — ces variables s’entrelacent, et la réponse pourrait bien se cacher dans cette courbe ascendante de 2026.
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Une donnée majeure a fait exploser le marché. L’ETF Bitcoin spot de BlackRock (IBIT) a enregistré hier une sortie nette de 3,326 milliards de dollars, battant le record depuis la création de ce fonds. Dès l’annonce, beaucoup ont commencé à s’inquiéter — la vente massive des géants signifie-t-elle une chute à venir ?
Mais il y a un détail souvent ignoré. Ce que l’on appelle la "vente de BlackRock" est en réalité principalement une vente mécanique déclenchée par les rachats des investisseurs ETF, et non une stratégie de vente à découvert de BlackRock lui-même. La fin d’année voit souvent les institutions réaliser leurs profits et ajuster leur structure de bilan, ce qui est une opération tout à fait courante.
De l’autre côté, l’histoire est tout autre. Depuis son lancement, l’ETF spot a attiré plus de 1320 milliards de dollars de fonds, et les sociétés cotées américaines ont effectué en octobre leur plus grande augmentation de positions en Bitcoin depuis juillet. Les gros capitaux se déploient discrètement, tandis que la panique s’étend.
Ce qui est vraiment intéressant, c’est cette "malédiction de quatre ans" de Bitcoin.
En regardant l’histoire, on constate que Bitcoin n’a jamais connu deux années consécutives de baisse annuelle. En 2014, il a chuté, mais en 2015, il a augmenté de 40,9 %. En 2018, il a chuté, mais en 2019, il a augmenté de 79,4 %. En 2022, il a chuté, et en 2023, il a explosé de 159,8 %. Jusqu’à Noël cette année, Bitcoin a baissé d’environ 7 % sur l’année. Si cette règle se maintient, la reprise en 2026 pourrait atteindre en moyenne 126,4 %. Le fonds d’investissement de Wall Street, Fundstrat, a déjà fixé un objectif de 200 000 dollars pour début 2026.
Pourquoi cette chaîne logique mérite-t-elle d’être suivie ? Parce qu’un autre grand facteur est en train de se préparer — la transition du pouvoir à la Réserve fédérale.
En 2026, la Fed accueillera un nouveau président. Ce nouveau leader sera probablement nommé directement par le président américain en place, qui pousse fortement pour une politique de baisse des taux. Cette anticipation se répand dans le marché. Si la politique devient accommodante, toutes les liquidités des actifs risqués pourraient être libérées. La sortie à court terme des investisseurs ETF, la cyclicité historique de Bitcoin, et le changement de politique monétaire de la Fed, ces trois forces combinées pourraient provoquer une véritable tempête parfaite.
D’un autre angle, la panique du marché est peut-être le meilleur signal d’anticipation. Avant chaque grande hausse, la liquidation des petits investisseurs et la stratégie des grands se jouent souvent en même temps. La sortie nette de 3,3 milliards de dollars de BlackRock peut sembler alarmante, mais elle est essentiellement une opération tactique de fin d’année, et non une stratégie de vente à découvert à long terme.
Alors, la question est : cette désespérance actuelle sera-t-elle la dernière obscurité avant l’aube ? Ou n’est-ce qu’une nouvelle tentative de manipulation dans une séquence de baisses ? Cycles historiques, stratégies institutionnelles, anticipations politiques — ces variables s’entrelacent, et la réponse pourrait bien se cacher dans cette courbe ascendante de 2026.