Le gouvernement algérien a récemment mis en place une interdiction totale couvrant toutes les activités liées aux cryptomonnaies. Selon cette politique, les résidents et les institutions sont formellement interdits d’effectuer toute opération liée aux monnaies virtuelles.
Plus précisément, les comportements suivants sont considérés comme des violations : l’achat, la vente et l’échange d’actifs numériques tels que le Bitcoin ; la détention ou l’exploitation minière de toute forme de monnaie virtuelle ; la création et l’exploitation de plateformes d’échange de cryptomonnaies ; l’utilisation de monnaies numériques pour des paiements ou des activités d’investissement.
Position nationale et contexte international
Cette initiative place l’Algérie parmi les rares pays au monde à adopter une tolérance zéro envers l’industrie de la cryptographie. En comparaison, de nombreux pays choisissent de réguler plutôt que d’interdire, mais le gouvernement algérien a clairement indiqué vouloir limiter fondamentalement le développement de la finance numérique dans le pays.
De telles politiques radicales reflètent la profonde inquiétude de certains États face aux risques liés aux actifs virtuels, notamment les dangers pour la stabilité financière, la difficulté de régulation et les risques de blanchiment d’argent, entre autres.
Impact sur le marché local
Dans ce cadre politique, les investisseurs ordinaires, les mineurs et les fournisseurs de services d’échange cryptographique doivent respecter des exigences strictes de conformité, sous peine de sanctions légales. Cela signifie que les activités légitimes de cryptomonnaie sont pratiquement impossibles à mener en Algérie.
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Politique de cryptomonnaie en Algérie : Peut-on encore acheter des actifs numériques dans ce pays ?
Dernières réglementations interdisant
Le gouvernement algérien a récemment mis en place une interdiction totale couvrant toutes les activités liées aux cryptomonnaies. Selon cette politique, les résidents et les institutions sont formellement interdits d’effectuer toute opération liée aux monnaies virtuelles.
Plus précisément, les comportements suivants sont considérés comme des violations : l’achat, la vente et l’échange d’actifs numériques tels que le Bitcoin ; la détention ou l’exploitation minière de toute forme de monnaie virtuelle ; la création et l’exploitation de plateformes d’échange de cryptomonnaies ; l’utilisation de monnaies numériques pour des paiements ou des activités d’investissement.
Position nationale et contexte international
Cette initiative place l’Algérie parmi les rares pays au monde à adopter une tolérance zéro envers l’industrie de la cryptographie. En comparaison, de nombreux pays choisissent de réguler plutôt que d’interdire, mais le gouvernement algérien a clairement indiqué vouloir limiter fondamentalement le développement de la finance numérique dans le pays.
De telles politiques radicales reflètent la profonde inquiétude de certains États face aux risques liés aux actifs virtuels, notamment les dangers pour la stabilité financière, la difficulté de régulation et les risques de blanchiment d’argent, entre autres.
Impact sur le marché local
Dans ce cadre politique, les investisseurs ordinaires, les mineurs et les fournisseurs de services d’échange cryptographique doivent respecter des exigences strictes de conformité, sous peine de sanctions légales. Cela signifie que les activités légitimes de cryptomonnaie sont pratiquement impossibles à mener en Algérie.