Une des perceptions très intelligentes de la vie est de faire le calcul global
Un ami à moi qui travaille dans le commerce international, dans le secteur gris, a choisi cette voie parce qu’elle est extrêmement lucrative : 100 RMB peuvent se vendre à 600 dollars américains, avec une marge brute de 50 %.
Il m’a même montré le tableau de bord, j’étais stupéfait.
Je lui ai alors demandé : comment ça se passe pour la douane, le dédouanement, ça passe ?
Il m’a répondu que sa logique commerciale n’est pas de cette façon : même s’il est contrôlé, il n’est pas contrôlé à chaque fois. Tant qu’il passe la douane, c’est une réussite.
Bien que son exemple soit extrême, je ne cautionne pas cette méthode.
Mais je suis d’accord avec le principe que 【la vie consiste à faire le calcul global】
Ce principe, ce n’est pas que vous devez gagner à chaque fois, mais que dans l’ensemble, c’est OK. Se focaliser trop sur chaque petite transaction vous fait manquer la vue d’ensemble et la perspective.
Et justement, une vision et une réflexion à un niveau supérieur peuvent vous apporter une plus grande certitude et des retours plus durables.
Warren Buffett a dit : La vie est comme une boule de neige qui dévale une pente, l’essentiel est de trouver de la neige très humide et une longue pente.
Il ne se soucie pas des fluctuations d’une année, mais du bilan global sur plusieurs décennies.
Penser en termes de calcul global est en réalité une combinaison de pensée probabiliste et d’intérêt composé dans le temps :
La première étape consiste à accepter la volatilité. Toute entreprise, investissement, voire relation humaine, ne peut pas toujours être profitable. Perdre quelques fois n’est pas important, l’essentiel est de gagner suffisamment quand on gagne, et de limiter les pertes quand on perd.
La deuxième étape consiste à regarder sur le long terme. Beaucoup de gens se concentrent sur le gain ou la perte immédiate, en oubliant la signification de cette transaction dans la stratégie globale. Parfois, une perte à court terme est justement la préparation à un gain à long terme — par exemple, dépenser pour acquérir des connaissances ou du temps pour construire la confiance.
La troisième étape consiste à oser miser gros. Quand vous faites le calcul global, vous osez investir plus dans des actions à haute probabilité de succès, plutôt que de disperser votre énergie sur chaque petite opportunité.
Une véritable maîtrise du calcul global consiste à utiliser cette pensée pour faire des actions positives dans un cadre conforme.
Je partage souvent cette approche dans ma chaîne de réflexion.
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Une des perceptions très intelligentes de la vie est de faire le calcul global
Un ami à moi qui travaille dans le commerce international, dans le secteur gris, a choisi cette voie parce qu’elle est extrêmement lucrative : 100 RMB peuvent se vendre à 600 dollars américains, avec une marge brute de 50 %.
Il m’a même montré le tableau de bord, j’étais stupéfait.
Je lui ai alors demandé : comment ça se passe pour la douane, le dédouanement, ça passe ?
Il m’a répondu que sa logique commerciale n’est pas de cette façon : même s’il est contrôlé, il n’est pas contrôlé à chaque fois. Tant qu’il passe la douane, c’est une réussite.
Bien que son exemple soit extrême, je ne cautionne pas cette méthode.
Mais je suis d’accord avec le principe que 【la vie consiste à faire le calcul global】
Ce principe, ce n’est pas que vous devez gagner à chaque fois, mais que dans l’ensemble, c’est OK. Se focaliser trop sur chaque petite transaction vous fait manquer la vue d’ensemble et la perspective.
Et justement, une vision et une réflexion à un niveau supérieur peuvent vous apporter une plus grande certitude et des retours plus durables.
Warren Buffett a dit : La vie est comme une boule de neige qui dévale une pente, l’essentiel est de trouver de la neige très humide et une longue pente.
Il ne se soucie pas des fluctuations d’une année, mais du bilan global sur plusieurs décennies.
Penser en termes de calcul global est en réalité une combinaison de pensée probabiliste et d’intérêt composé dans le temps :
La première étape consiste à accepter la volatilité. Toute entreprise, investissement, voire relation humaine, ne peut pas toujours être profitable. Perdre quelques fois n’est pas important, l’essentiel est de gagner suffisamment quand on gagne, et de limiter les pertes quand on perd.
La deuxième étape consiste à regarder sur le long terme. Beaucoup de gens se concentrent sur le gain ou la perte immédiate, en oubliant la signification de cette transaction dans la stratégie globale. Parfois, une perte à court terme est justement la préparation à un gain à long terme — par exemple, dépenser pour acquérir des connaissances ou du temps pour construire la confiance.
La troisième étape consiste à oser miser gros. Quand vous faites le calcul global, vous osez investir plus dans des actions à haute probabilité de succès, plutôt que de disperser votre énergie sur chaque petite opportunité.
Une véritable maîtrise du calcul global consiste à utiliser cette pensée pour faire des actions positives dans un cadre conforme.
Je partage souvent cette approche dans ma chaîne de réflexion.