- Dans la psychologie de l’argent, la douleur liée à la perte équivaut au double du plaisir lié au gain.
C’est pourquoi, les « Marchés Baissiers » (Bear Markets) dominent nos titres et nos émotions, même s’ils ne sont historiquement que des « flashs » rouges dans un océan de croissance bleue.
Le graphique ci-joint n’est pas seulement un récit historique, mais une « argumentation mathématique » solide contre le pessimisme excessif. - Le langage des chiffres ne ment pas : Lorsque l’on met de côté l’émotion et que l’on examine les données depuis 1949, on constate un déséquilibre saisissant en faveur de l’investisseur patient :
L’ère des taureaux (Bull Market) : Elle dure en moyenne 5,3 ans, avec une croissance cumulative moyenne de +254%.
L’ère des ours (Bear Market) : Elle est un visiteur lourd mais rapide, ne durant en moyenne qu’un an, et elle emporte avec elle -31% de la valeur. - La leçon d’investissement profonde : Imaginez que l’on vous propose une affaire commerciale : « La probabilité de gagner dure 5 fois plus longtemps que celle de perdre, et les rendements attendus dépassent les pertes par un facteur de huit. »
Refuseriez-vous ? C’est exactement ce que fait l’investisseur qui vend à la moindre signalisation rouge.
Le plus grand danger sur les marchés n’est pas « la correction » ou la chute temporaire, mais « l’interruption de la capitalisation composée » (Interrupting Compounding).
La couleur rouge dans l’image est essentielle ; Elle représente « l’hiver » qui tue les entreprises faibles et corrige les valorisations excessives, préparant le terrain pour de longues années de « printemps » bleu qui suivent. - En résumé : Les marchés passent beaucoup plus de temps à construire la richesse qu’à la détruire.
Une année de peur ne doit pas vous priver de cinq années de prospérité.
Votre portefeuille est-il conçu pour supporter « l’hiver » court afin de profiter du « printemps » long ?
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La peur vend.. mais l’optimisme crée la richesse
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Dans la psychologie de l’argent, la douleur liée à la perte équivaut au double du plaisir lié au gain.
C’est pourquoi, les « Marchés Baissiers » (Bear Markets) dominent nos titres et nos émotions, même s’ils ne sont historiquement que des « flashs » rouges dans un océan de croissance bleue.
Le graphique ci-joint n’est pas seulement un récit historique, mais une « argumentation mathématique » solide contre le pessimisme excessif.
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Le langage des chiffres ne ment pas :
Lorsque l’on met de côté l’émotion et que l’on examine les données depuis 1949, on constate un déséquilibre saisissant en faveur de l’investisseur patient :
L’ère des taureaux (Bull Market) :
Elle dure en moyenne 5,3 ans, avec une croissance cumulative moyenne de +254%.
L’ère des ours (Bear Market) :
Elle est un visiteur lourd mais rapide, ne durant en moyenne qu’un an, et elle emporte avec elle -31% de la valeur.
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La leçon d’investissement profonde :
Imaginez que l’on vous propose une affaire commerciale :
« La probabilité de gagner dure 5 fois plus longtemps que celle de perdre, et les rendements attendus dépassent les pertes par un facteur de huit. »
Refuseriez-vous ?
C’est exactement ce que fait l’investisseur qui vend à la moindre signalisation rouge.
Le plus grand danger sur les marchés n’est pas « la correction » ou la chute temporaire, mais « l’interruption de la capitalisation composée » (Interrupting Compounding).
La couleur rouge dans l’image est essentielle ;
Elle représente « l’hiver » qui tue les entreprises faibles et corrige les valorisations excessives, préparant le terrain pour de longues années de « printemps » bleu qui suivent.
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En résumé : Les marchés passent beaucoup plus de temps à construire la richesse qu’à la détruire.
Une année de peur ne doit pas vous priver de cinq années de prospérité.
Votre portefeuille est-il conçu pour supporter « l’hiver » court afin de profiter du « printemps » long ?
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