La présidente de la BCE, Christine Lagarde, vient de le clarifier : ils n'assoupliront pas la réglementation de l'UE pour soutenir un prêt à l'Ukraine garanti par des avoirs russes gelés. Cette position met en lumière la tension entre l'urgence géopolitique et le respect des règles institutionnelles. Bien que les avoirs gelés représentent des milliards en garantie potentielle, l'engagement de la banque centrale envers les cadres réglementaires prime. Cela rappelle qu'en situation de crise, même les grandes institutions financières doivent respecter des limites opérationnelles strictes. Cette décision pourrait influencer le développement de structures de financement alternatives dans les mois à venir.