Le 3 décembre, le Bureau de recherche macroéconomique de l’ASEAN+3 (AMRO), par la voix de son économiste en chef He Dong, a déclaré que les stablecoins émis par des institutions non bancaires ont peu de chances de devenir la norme sur le marché monétaire et que leur capacité à servir l’économie réelle est limitée. Parallèlement, la Banque populaire de Chine a également souligné que les stablecoins présentent des risques de blanchiment d’argent et de fraude. Actuellement, de nombreux pays dans le monde étudient et développent les monnaies numériques, tandis que les banques centrales, les banques commerciales et les institutions financières non bancaires lancent tour à tour de nouveaux outils de paiement.