Le taux de pénétration du commerce électronique n'est que de 16,3 %, ce marché a encore un immense potentiel.
Des données intéressantes : au deuxième trimestre 2025, la part des ventes en ligne au détail dans le monde n'est que de 16,3 %, ce qui signifie qu'il reste 83,7 % des transactions hors ligne. Que cela signifie-t-il ? Le secteur du commerce électronique n'est pas encore saturé.
La question actuelle est qui peut prendre cette part de gâteau en augmentation. Sur le marché américain, un géant du commerce électronique a déjà capturé près de 40 % de la part de marché en ligne, tandis que ses concurrents n'atteignent même pas les deux chiffres. Pourquoi une telle différence ? Trois raisons :
**Premièrement, la marque + la logistique comme fossé de protection**. Quand on parle d'achats en ligne, la première réaction des utilisateurs est souvent de penser à cette marque. Les camions de livraison dans les rues sont également une publicité vivante.
**Deuxièmement, le réseau de livraison est invincible**. Un réseau de centres de distribution à travers les États-Unis + une grande flotte de véhicules de livraison, permettant des livraisons le jour même ou même en quelques heures. Cette expérience est inimitable.
**Troisièmement, forte fidélité des utilisateurs**. L'effet de verrouillage généré par plus de 200 millions d'abonnés rend difficile pour les concurrents de s'y introduire.
Ce qui est encore plus audacieux, c'est que cette entreprise se lance dans de nouveaux secteurs - la livraison de produits frais le jour même couvre plus de 2300 villes américaines, et le commerce de voitures d'occasion a également été lancé. Avec les consommateurs qui continuent de se tourner vers le numérique, ces nouvelles activités représentent des points de croissance.
Avec les activités de cloud computing (29 % de part de marché mondiale) et les applications d'IA (déjà en test pour la livraison par robot et le tri automatisé), il y a encore beaucoup de marge pour l'optimisation des coûts.
Conclusion : Le taux de pénétration du e-commerce a encore un plafond de 83 %, et cette entreprise occupe déjà une position optimale. À long terme, cette position sera difficile à ébranler.
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Le taux de pénétration du commerce électronique n'est que de 16,3 %, ce marché a encore un immense potentiel.
Des données intéressantes : au deuxième trimestre 2025, la part des ventes en ligne au détail dans le monde n'est que de 16,3 %, ce qui signifie qu'il reste 83,7 % des transactions hors ligne. Que cela signifie-t-il ? Le secteur du commerce électronique n'est pas encore saturé.
La question actuelle est qui peut prendre cette part de gâteau en augmentation. Sur le marché américain, un géant du commerce électronique a déjà capturé près de 40 % de la part de marché en ligne, tandis que ses concurrents n'atteignent même pas les deux chiffres. Pourquoi une telle différence ? Trois raisons :
**Premièrement, la marque + la logistique comme fossé de protection**. Quand on parle d'achats en ligne, la première réaction des utilisateurs est souvent de penser à cette marque. Les camions de livraison dans les rues sont également une publicité vivante.
**Deuxièmement, le réseau de livraison est invincible**. Un réseau de centres de distribution à travers les États-Unis + une grande flotte de véhicules de livraison, permettant des livraisons le jour même ou même en quelques heures. Cette expérience est inimitable.
**Troisièmement, forte fidélité des utilisateurs**. L'effet de verrouillage généré par plus de 200 millions d'abonnés rend difficile pour les concurrents de s'y introduire.
Ce qui est encore plus audacieux, c'est que cette entreprise se lance dans de nouveaux secteurs - la livraison de produits frais le jour même couvre plus de 2300 villes américaines, et le commerce de voitures d'occasion a également été lancé. Avec les consommateurs qui continuent de se tourner vers le numérique, ces nouvelles activités représentent des points de croissance.
Avec les activités de cloud computing (29 % de part de marché mondiale) et les applications d'IA (déjà en test pour la livraison par robot et le tri automatisé), il y a encore beaucoup de marge pour l'optimisation des coûts.
Conclusion : Le taux de pénétration du e-commerce a encore un plafond de 83 %, et cette entreprise occupe déjà une position optimale. À long terme, cette position sera difficile à ébranler.